Chirurgie esthétique
Au vue des nombreuses techniques à visée esthétique, les patients peuvent se demander si la chirurgie esthétique a encore sa place de nos jours… Evidemment oui, et il ne faut pas mettre en opposition ces deux spécialités. Mais quand avoir recourt à un chirurgien alors ? Et quelles sont les principales indications ?
La médecine à visée esthétique s’adresse aux patientes ne désirant pas réaliser un acte chirurgical, ne désirant pas une anesthésie générale, ne désirant pas un résultat irréversible (surtout en cas de résultat inesthétique), ne désirant pas de cicatrice, de résultats trop rapidement visibles ou d’actes invasifs ; mais aussi, pour les patientes qui n’ont pas le budget alloué, qui veulent évaluer les résultats possibles d’un changement esthétique tout en étant réversible, ou encore des patientes trop jeunes.
La médecine morphologique anti-âge, à visée esthétique, apparait ainsi comme l’antichambre de la chirurgie… faire de la médecine en attendant de pouvoir faire de la chirurgie : « Etre belle sans scalpel » !
Mais, la médecine à visée esthétique ne peut pas tout résoudre :
- En cas de relâchement cutané majeur (bajoues, cou, face interne de bras ou de cuisse ou ventre), seul un lifting chirurgical sera efficace.
- En cas d’excès de poids majeur ou de ventre « bedonnant », la cryolipolyse ne peut se faire que pour un excès de graisse localisé et ne pourra jamais remplacer une liposuccion.
- En cas de nez et/ou cloison nasale est dévié, seule une chirurgie du nez (rhinoplastie voire sept-rhinoplastie) pourra régler le problème avec une prise en charge par la Sécurité Sociale possible si des troubles respiratoires ou sinusiens sont associés.
- En cas de menton fuyant associé à un trouble occlusal, il est plus efficace de réaliser une chirurgie maxillo-faciale.
- En cas d’excès de peaux au niveau des paupières supérieures ou de boules graisseuses au niveau des paupières inférieures, une chirurgie de blépharoplastie sera idéale, avec parfois même moins d’éviction sociale qu’une succession d’actes médicaux (plex’r, laser co2 ou laser Erbium), et qui peut être prise en charge par la Sécurité Sociale en cas de troubles de la vue associée à ce relâchement.
- En cas de varices des membres inférieurs, le traitement par laser Nd Yag sera insuffisant et une chirurgie de phlébotomie sera indiquée.
- En cas de cicatrice très inesthétique (élargie, chéloïde ou hypertrophique), une reprise chirurgicale sera plus efficace et plus esthétique qu’un long traitement médical.
- En cas d’un relâchement vaginal majeure avec prolapsus, le traitement par laser Femilift sera insuffisant et seule une chirurgie gynécologique sera indiqué.
- En cas de poitrine trop petite ou tombante, aucun acte médical n’est autorisé et seule une chirurgie d’implants mammaires et/ou de cure de prose sera possible.
C’est donc lors d’une consultation initiale que le Dr Durantet sera à même de vous orienter vers le meilleur choix, entre la Médecine à visée esthétique ou la Chirurgie Esthétique.
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